« Tchoury » : Une comète qui ne manque pas de sel !
Communiqué de presse
Univers
En comparant les spectres mesurés par l’instrument VIRTIS de la sonde Rosetta avec ceux de comètes artificielles réalisées à l’Institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble (IPAG-CNRS/UGA), un consortium international de chercheurs dont des membres du Laboratoire d’études spatiales et d’instrumentation en astrophysique (LESIA - CNRS/Observatoire de Paris – PSL/Sorbonne Université/Université de Paris) a pu identifier des sels d’ammonium à la surface de la comète 67P. C’est la première fois que de tels composés riches en azote sont identifiés sur une comète. Une découverte publiée dans Science le 12 mars 2020.